Question écrite concernant les animaux errants.
- de
- Hasan Koyuncu
- à
- Bernard Clerfayt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de l'Emploi et de la Formation professionnelle, de la Transition numérique, des Pouvoirs locaux et du Bien-Être animal (question n°17)
Date de réception: 07/10/2019 | Date de publication: 22/10/2019 | ||
Législature: 19/24 | Session: 19/20 | Date de réponse: 22/10/2019 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
09/10/2019 | Recevable | p.m. |
Question | De nombreuses communes reçoivent chaque année des centaines d'appel relatifs à des animaux errants. Ces animaux peuvent constituer un véritable fléau pour la police. Il s'agit généralement de chiens, mais parfois d’autres animaux exotiques (tels que serpents, mygales, etc.) se trouvent eux aussi sur la voie publique. Les interventions ne sont pas toujours dénuées de risques, non seulement pour les services de police et les pompiers chargés de la capture mais aussi pour les personnes et autres animaux domestiques entrant en contact avec ces animaux. En outre, la capture des animaux errants et l'identification des propriétaires coûtent à la police un temps précieux. Certaines zones ont donc instauré une collaboration avec des refuges et des spécialistes de la capture de chiens. 1) Combien d'appels relatifs à des animaux errants chaque zone de police bruxelloise a-t-elle reçus en 2018 ? 2) Combien de zones de police collaborent-elles avec d'autres organisations qui prennent en charge le repérage et la capture d'animaux errants ? 3) Existe-t-il un montant minimal que doivent acquitter les propriétaires d'animaux errants à titre d'amende ou ce montant varie-t-il d'une zone de police à l'autre ? |
Réponse | En tant que Ministre du bien-être animal, je n’ai pas de tutelle sur les zones de police mais bien sur Bruxelles Environnement. Dans ce cadre, le service Bien-être animal ne dispose pas des éléments de réponses permettant d’indiquer le nombre d’appels relatifs à des animaux errants reçus par les zones de police bruxelloises. De même, l’administration n’est pas en mesure de communiquer le nombre de zones de police qui collaboreraient avec d’autres organisations qui prennent en charge le repérage et la capture d’animaux errants. Enfin, quant à l’éventuel montant dont devraient s’acquitter les propriétaires d’animaux errants, une fois encore, Bruxelles Environnement ne dispose pas des éléments de réponse. |