Question écrite concernant les parkings de covoiturage et de dissuasion en Région Bruxelles-Capitale
- de
- Christophe De Beukelaer
- à
- Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière (question n°1090)
Date de réception: 08/11/2021 | Date de publication: 28/01/2022 | ||
Législature: 19/24 | Session: 21/22 | Date de réponse: 26/01/2022 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
10/12/2021 | Recevable | Bureau élargi du Parlement |
Question | Le covoiturage est basé sur une augmentation du taux doccupation des véhicules. Cette pratique offre des bienfaits multiples à Bruxelles : lutte contre la congestion routière, réduction de la pollution, diminution des coûts de transport et création de lien social notamment Dès lors, pouvez-vous :
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Réponse | L’Agence du stationnement ne dispose pas de données spécifiques relatives à la thématique du covoiturage. L’expression « parking de covoiturage » ne fait pas l’objet d’une définition en Région de Bruxelles Capitale. Le site internet Carpool recense de tels types de parkings en Flandre et en Wallonie mais n’en recense pas en Région bruxelloise. Cela peut se comprendre dès lors que les points de départ de ces parking se situent généralement en dehors de la Région bruxelloise. En ce qui concerne les parkings de dissuasion, c’est-à-dire les P+R (pour Park & Ride) selon une nomenclature européenne, ils sont au nombre de 6 : - Ceria-Coovi : 1300 places - Crainhem – Kraainem : 193 places - Herrmann-Debroux : 104 places - Delta : 386 places - Lennik-Erasme : 175 places Stalle : 380 places |