Question écrite concernant le financement des campagnes "Bob" de prévention de Bruxelles-Mobilité.
- de
- Ariane de Lobkowicz
- à
- Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière (question n°34)
| Date de réception: 01/10/2019 | Date de publication: 15/11/2019 | ||
| Législature: 19/24 | Session: 19/20 | Date de réponse: 14/11/2019 | |
| Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
| 07/10/2019 | Recevable | p.m. |
| Question | Depuis longtemps maintenant, des campagnes de prévention de la consommation d’alcool avant de prendre le volant sont réalisées avec, je crois, un certain succès. Le recours à un « Bob » est rentré dans les mœurs mais il est important de maintenir une certaine pression qui explique la pérennisation de telles campagnes. Je crois savoir que ces campagnes sont financées essentiellement par les pouvoirs publics mais également par les compagnies d’assurances (c’est leur intérêt de diminuer les accidents) ou par les brasseurs et autres distributeurs de boissons alcoolisées (ce sont eux, les responsables de la consommation d’alcool). Quelle est l’importance des financements privés de ces campagnes ? Et comment évolue l’importance de cette participation ces dernières années ? |
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| Réponse | Les campagnes BOB sont le fruit d’une collaboration entre les Régions, compétentes en la matière depuis la dernière réforme de l’Etat, les Brasseurs belges et VIAS Institute, co-propriétaires de la marque, et Assuralia, sponsor des campagnes. Nous n’avons pas connaissance des montants que les partenaires privés ont engagés dans les précédentes éditions. Toutefois, pour aller plus loin, nous pouvons vous donner le montant que ces campagnes représentent pour notre l’administration :
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