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Question écrite concernant l'impact de la crise du COVID-19 sur la STIB

de
Christophe De Beukelaer
à
Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière (question n°364)

 
Date de réception: 06/04/2020 Date de publication: 19/05/2020
Législature: 19/24 Session: 19/20 Date de réponse: 19/05/2020
 
Date Intitulé de l'acte de Référence page
10/04/2020 Recevable p.m.
 
Question    La STIB – acteur central de la mobilité bruxelloise – joue un rôle essentiel dans le cadre de la lutte contre le COVID-19. Elle doit notamment veiller à permettre aux travailleurs de première ligne de se déplacer dans les meilleures conditions au sein de la Région.

Face à la crise du COVID-19 et aux différentes mesures qui ont été prises, la STIB a dû bien entendu adapter son offre. Elle a dû également revoir son organisation de travail. En effet, il est important de pouvoir concilier d’une part, le combat contre le virus et la continuité du service public et d’autre part, la préservation de la santé des agents et la prévention des risques professionnels.

Dans ce cadre, je souhaiterais vous poser, Madame, la Ministre, les questions suivantes :

- Pouvez-vous préciser dans quelle mesure l’offre de la STIB a été modifiée (fréquences, trajets, etc) depuis le 13 mars dernier ?

- Quel impact le confinement a-t-il sur la fréquentation ?

- Le personnel roulant et de sécurité de la STIB dispose-t-il de matériel de protection particulier ? Dans l’affirmative, de quel type de protection s’agit-il ? En quelle quantité a-t-il été distribué ? Depuis quand est-il mis à disposition des agents ?

- Quel est le taux d’absentéisme au sein de la STIB depuis le confinement ? Est-il plus important qu’en temps habituel ? Dans l’affirmative, cet absentéisme pose-t-il problème dans la continuité du service ? Comment y palliez-vous ?

- Quelles consignes ont été données aux agents de sécurité de la STIB ?

- Quel(s) type(s) de contrôle et d’intervention font-ils : titre de transport valide et/ou respect des mesures de distanciation ? Des mesures claires leur ont-elles été données quant à la manière de mener ces interventions ? Sont-ils régulièrement accompagnés de la police ?

- Quelles sont les procédures de nettoyage du matériel roulant après utilisation ?

- A quelle fréquence les bornes et les scans de validation sont-ils nettoyés ?

- A combien estimez-vous le coût global de la crise pour la STIB, ventilé par poste (tant pour la diminution de recettes que pour l’augmentation des coûts / d’éventuelles économies) ?

- Un report de la mise en place de la gratuité est-il à l’ordre du jour ?

- Quel est l’impact (timing et budget) du confinement sur le chantier du tronçon de métro Albert-gare du Nord ?

- Les délais de livraisons du matériel (métro, bus, tram) est-il impacté par la crise ?

- Enfin, quelles sont les conséquences de la crise sur la mise en place du plan bus ?
 
 
Réponse    Situation en vigueur à la date du 8/4/2020 :

Dès le début de la pandémie, la STIB s’est attachée à ce que des mesures d’hygiène particulières soient mises en œuvre pour les membres de son personnel mais aussi pour ses clients. Le nettoyage de tous les véhicules – métro, trams et bus – a ainsi été adapté et renforcé depuis le 14 mars dernier.


1) Nettoyage dans les dépôts et lieux de remisage

Le principe de base est que tous les véhicules qui sortent des dépôts de la STIB le matin ont été préalablement nettoyés.

Lors de ces opérations de nettoyage renforcé, une attention particulière est portée aux zones et surfaces sensibles des compartiments voyageurs (zones de contact) : les boutons poussoir, mains courantes, poignées sont nettoyés à l’aide d’un produit de nettoyage adapté. Il en est de même des postes de conduite, dont tous les éléments que manipulent les chauffeurs, conducteurs et conductrices sont eux aussi nettoyés.

Des kits de nettoyage ont par ailleurs été mis à disposition du personnel de conduite, de manière à leur permettre également un assainissement de leur poste de conduite. En outre, la suppression des changements de service en ligne complète les mesures de précaution mises en place.

Complémentairement, les véhicules remisés aux dépôts sont laissés autant que possible toutes portes ouvertes, de manière à favoriser la circulation de l’air pendant la période d’inactivité.

Des mesures ont été mises en place pour renforcer les équipes de nettoyage dans les trois modes. Et les procédures de travail et de contrôle ont été revues, afin de garantir le respect des prescriptions de nettoyage, tant en qualité qu’en quantité.

Au métro: Habituellement, le nettoyage des rames est réalisé par une entreprise externe. La STIB a fait appel aux services d’une deuxième société de nettoyage afin de s’assurer de disposer de personnel en suffisance pour assurer toutes les missions prévues. Au total, ce sont actuellement 27 personnes qui s’attèlent chaque jour au nettoyage des rames dans les dépôts et zones de garage. En outre, 4 intérimaires ont été affectés, au dépôt Delta, au nettoyage des trains qui rentrent ou sortent en cours de journée (de 8h à 16h).

Au tram: Habituellement, le nettoyage des véhicules est assuré en interne. La STIB a appelé en renfort une entreprise externe afin d’aider les laveurs et d’intensifier le nettoyage des véhicules. Au total actuellement, 50 personnes réalisent chaque jour les opérations de nettoyage dans les 7 dépôts du mode tram.

Au bus: Habituellement, le nettoyage des véhicules est assuré en interne. La STIB a appelé en renfort une entreprise externe afin d’aider les laveurs et d’intensifier le nettoyage des véhicules. Au total actuellement, 80 personnes se chargent chaque jour du nettoyage des véhicules dans les 5 dépôts du mode Bus. Jusqu’à fin mars, il n’était pas possible de garantir dans tous les cas de figure qu’un bus rentré au dépôt en journée pour ressortir ensuite avec un autre chauffeur/une autre conductrice pouvait être assaini. C’est le cas depuis le 1er avril : tous les bus qui quittent le dépôt, que ce soit la première sortie du matin ou une seconde sortie en journée, ont été nettoyés.


2) Assainissement des zones de contact aux terminus

En plus de ces efforts dans les dépôts, des équipes spéciales de nettoyage sont aussi présentes en semaine à certains terminus, où elles procèdent à l’assainissement des surfaces de contact (mains courantes, poignées et boutons) des compartiments voyageurs pendant le temps de battement, voire en présence de voyageurs au métro.

Au bus et au tram, ces tâches sont réalisées par une centaine de futurs chauffeurs et conducteurs en formation dont l’écolage a été suspendu. Au Métro, ces missions particulières sont confiées aux équipes qui se chargent habituellement de la propreté d’apparence en cours de journée.

Au métro : 5 personnes se consacrent chaque jour, en semaine, à ces tâches, entre 10h et 16h. Les terminus concernés sont : Érasme, Gare de l’Ouest, Simonis et Élisabeth

Au tram : Environ 20 personnes s’occupent chaque jour, en semaine, de ces missions de nettoyage, entre 8h et 16h. Les terminus concernés sont : Heysel, Esplanade, Gare de Schaarbeek, Rogier, Roodebeek, Marius Renard, Van Haelen et Drogenbos Château.

Au bus : Environ 65 personnes s’occupent chaque jour, en semaine, de ces missions de nettoyage, entre 8h et 16h. Les terminus concernés sont : Gare du Nord, Gare du Midi, Gare Centrale, UZ, Heysel, Simonis, Trône, dépôt Haren (terminus L59 et L64), Cimetière de Bruxelles, Hof Ten Berg, Roodebeek, Machelen, Maes, St Vincent, Delta, Porte de Namur, Schuman (L36 et L56), Transvaal, Wiener.


3) Stations de (pré)métro

Par ailleurs, dans les stations de métro et pré-métro, les opérations de nettoyage ont été aménagées, à effectif inchangé, de manière à porter une attention particulière aux zones et surfaces en contact avec les voyageurs (mains courantes, portillons,…).

Les postes de conduite des trams T3000 et T4000 sont par construction totalement isolés du compartiment voyageurs. Seuls l’hygiaphone et le passe-monnaie permettent une communication et ces deux dispositifs ont été obturés afin de protéger les conducteurs. Il en est de même dans les trams T2000.

Dans ces trois séries de véhicules, les portes avant ont donc été laissées fonctionnelles pour ne pas réduire encore leur capacité effective déjà limitée par la nécessité de garantir les distances sociales.

La situation est différente dans les trams plus anciens (PCC) et dans les bus : leur poste de conduite ne pouvant pas être totalement isolé, les portes avant ont été mises hors service et une chaînette interdit l’accès des voyageurs aux extrémités du compartiment.

La question ne se pose pas au métro, le poste de conduite étant séparé physiquement du compartiment voyageurs.

Dans le contexte du confinement renforcé décrété par le Conseil national de sécurité, le secteur des transports publics a été identifié comme essentiel aux besoins de la population. La STIB, comme les autres opérateurs de transports publics, met dès lors tout en œuvre pour assurer au mieux cette mission, en fonction des ressources qu’elle peut mobiliser et en veillant à respecter et à faire respecter la distance sociale requise aux arrêts, dans les stations et surtout dans ses véhicules.

Pour l’instant, la quasi-totalité du réseau de la STIB est exploitée. Certes à fréquences réduite, mais le territoire régional reste totalement couvert.
Selon le personnel disponible, seules quelques lignes de bus non essentielles (et dont la desserte peut aisément être assurée par d’autres lignes) sont, certains jours ou à certaines heures, inexploitées (par exemple les lignes : 33, 72, 77/76, 17), ce qui permet à la STIB de réorienter ses ressources sur des lignes considérées comme prioritaires (desserte des hôpitaux et centres commerciaux essentiels, etc.). Avec la remontée du présentéisme du personnel de conduite, la totalité des lignes a été exploitée pendant les dernières semaines de confinement, sauf les dimanches et jours fériés.

La fréquentation générale du réseau de la STIB a naturellement fortement chuté : elle est évaluée entre 10 et 15% de son niveau ordinaire.

La STIB a cependant dû constater, sur certaines lignes, à certaines heures, une «affluence» qui ne permet pas de respecter la distance sociale entre les voyageurs et qui, dès lors, non seulement est génératrice de tensions entre voyageurs, ou entre voyageurs et personnel de la STIB mais, surtout, réduit l’efficacité des mesures de confinement.

Tous les moyens de communication de la STIB ont été mobilisés pour sensibiliser les voyageurs au respect des normes : annonces vocales dans les stations et dans les véhicules, messages sur tous les afficheurs de temps d’attente, sur les écrans dans les véhicules, sur les médias sociaux, sur le site Internet et sur l’application mobile. Des stickers ont été posés sur toutes les portes des véhicules pour indiquer le nombre maximum de voyageurs par type de véhicule ; d’autres stickers ont été collés sur les sièges des bus, trams et métros afin de matérialiser aux yeux des voyageurs les sièges sur lesquels il n’est pas autorisé de s’asseoir. Enfin, du personnel est présent sur le réseau pour sensibiliser et conseiller les voyageurs.
Ces efforts de communication ont été relayés par les médias traditionnels et largement répercutés sur les médias sociaux.

Sur le plan opérationnel, les dispatchings de la STIB sont informés en temps réels des surcharges par le personnel de conduite. Au besoin, des équipes d’intervention ou la police sont envoyées sur les lieux pour gérer les situations difficiles.

Ces informations sont analysées quotidiennement, afin d’adapter au mieux l’offre de transport et d’orienter les ressources vers les lignes affichant la plus forte demande, dans la mesure des effectifs disponibles et en veillant à continuer à desservir la totalité du territoire régional. Une toute nouvelle planification du mode d’exploitation a ainsi été mise en service le lundi 6 avril, visant à diminuer au maximum les surcharges et respecter ainsi la distanciation sociale au sein des véhicules.

Et sur le terrain, les agents du Service Field Support (Info aux voyageurs et agents de sécurité) sont répartis sur le réseau avec le même objectif de faire respecter les règles d’occupation maximale et de distance sociale. Ils sensibilisent les clients et les invitent au besoin à descendre des véhicules, sans se mettre en danger. Si la situation l’impose, ils font appel à la police, qui est seule à pouvoir prendre des mesures d’autorité.

À cet égard, la STIB se réjouit de l’excellente collaboration des zones de police. De nombreuses patrouilles sont déjà intervenues avec succès sur le réseau. La présence proactive de patrouilles à proximité des zones sensibles à ce phénomène est à souligner également et des actions préventives conjointes STIB / Police sont régulièrement organisées avec succès.

Si ces nombreuses mesures n’ont pas permis de mettre totalement fin aux surcharges constatées en certains points très locaux du réseau, elles ont considérablement endigué le phénomène et ont rendu possible l’exploitation du réseau au service des catégories de personne qui en ont vraiment besoin dans des conditions de sécurité acceptables.

En plus des mesures « physiques » déjà évoquées (postes de conduite inaccessibles, suspension de la vente de titres à bord des véhicules, suppression de la montée à l’avant), du matériel de nettoyage et de protection est distribué au personnel de la STIB (personnel de conduite, personnel de sécurité, etc.) en fonction de la disponibilité du matériel (les difficultés d’approvisionnement concernent également la STIB) et de règles de priorité (priorité au personnel en contact avec le public pour lequel le respect de la distanciation sociale est plus difficile).

Le matériel distribué au personnel est le suivant : kit de désinfection (gel désinfectant, spray nettoyant, gants), lingettes désinfectantes, lavettes, etc.

Ce matériel a été distribué progressivement dès la première semaine du mois de mars. Il est bien évidemment renouvelé au fur et à mesure de son utilisation.

Depuis le 9 avril, des maques sont distribués au personnel en contact direct avec les voyageurs et aux collaborateurs de la STIB dont la fonction ne permet pas de garantir le respect de la distanciation sociale requise. Cela concerne en premier lieu le personnel de sécurité qui veille justement au respect de la distanciation sociale entre les voyageurs ainsi que certains techniciens. Cette distribution sera par la suite élargie à d’autres membres du personnel de la STIB.

Il n’est pas possible actuellement de fournir un chiffre précis pour chaque type de matériel distribué, ce nombre évoluant chaque jour et la crise COVID-19 n’étant pas terminée.

A la date du 3/4 (veille des vacances de Pâques), le taux d’absentéisme à la STIB était 22,5% pour toute l’entreprise (27,5% à la conduite et pour le personnel technique).

A la date du 14/4, le taux d’absentéisme à la STIB était de 16,6% pour toute l’entreprise (22% à la conduite, 19% pour le personnel technique). Une tendance à la baisse du taux d’absentéisme est observée par rapport aux jours précédents.

Le 27 avril, les taux étaient de 16,3% pour toute l’entreprise (20% à la conduite et 17,5% pour le personnel technique).

A titre de comparaison, le taux d’absentéisme de la STIB avant la crise, fin 2019, était de 8,75%.

À ce jour, la quasi-totalité du réseau de la STIB est exploitée. Certes à fréquences réduite, mais le territoire régional reste totalement couvert. Selon le personnel disponible, seules quelques lignes de bus non essentielles (et dont la desserte peut aisément être assurée par d’autres lignes) sont certains jours, ou à certaines heures, inexploitées (par exemple : 33, 72, 77/76, 17), ce qui permet à la STIB de réorienter ses ressources sur des lignes considérées comme prioritaires (les lignes desservant les hôpitaux et secteurs commerciaux essentiels sont privilégiées en termes de fréquences). Avec la remontée du présentéisme du personnel de conduite, la totalité des lignes a été exploitée pendant les dernières semaines de confinement, sauf les dimanches et jours fériés.

Le personnel (de contrôle, en écolage, …) qui ne peut assurer ses fonctions habituelles actuellement est affecté, dans la mesure du possible, à d’autres tâches (information et accompagnement des voyageurs, nettoyage de véhicules aux terminus, etc.), ce qui permet d’assurer les missions de la STIB.

Les contrôleurs de la STIB sont actuellement répartis sur le réseau avec pour mission d’informer et aider les voyageurs et de faire respecter les règles d’occupation maximale des véhicules et de distance sociale. Ils sensibilisent les voyageurs et les invitent, au besoin, à descendre des véhicules, sans se mettre en danger.

Si la situation l’impose, ils font appel à la police, qui est seule à pouvoir prendre des mesures d’autorité.

À cet égard, la STIB se réjouit de l’excellente collaboration des zones de police. La présence proactive de patrouilles à proximité des zones sensibles (surcharge) est à souligner également et des actions préventives conjointes STIB / Police sont régulièrement organisées avec succès.

Il est clair qu’il y a un impact financier en raison de la baisse de revenus (vente de titres de transport) et de certains coûts supplémentaires (nettoyage, matériel de protections individuelles, etc.). Certaines dépenses (frais de carburant) sont par ailleurs en baisse.

Il est encore trop tôt pour évaluer correctement cet impact. La STIB doit envisager cela à plus long terme, ce qui n'est pas possible pour l'instant car la STIB ne sait pas encore quand cette crise sera terminée.

Un éventuel report de la gratuité est encore à l'étude.

Les mesures de confinement décrétées par les autorités dans le cadre de la crise liée au COVID-19 ont un impact sur de nombreux chantiers, y compris ceux de la STIB. La plupart des chantiers de la STIB sont à l’arrêt, à l’exception des chantiers d’entretiens et de réparations du réseau réalisés par les équipes internes de la STIB.

Ces arrêts sont liés à l’arrêt des chantiers réalisés par les impétrants, l’absence de flux d’approvisionnement en matières premières et la mise en chômage technique de la plupart des entreprises de construction sous-traitantes.

Cela concerne également les chantiers liés au Métro 3 entre les stations Albert et Gare du Nord.

Il est encore trop tôt pour estimer l’impact de cet arrêt sur ce projet en particulier, que ce soit au niveau du timing ou au niveau budgétaire. La crise n’est pas encore terminée et la STIB ne peut dès lors pas savoir quand ces chantiers pourront reprendre à plein régime. La relance sera également fonction de la reprise des autres parties impliquées (impétrants, coordination avec les autres chantiers en Région de Bruxelles-Capitale, etc.)

La STIB est occupée à dresser l’inventaire de tous les chantiers planifiés dans les prochains mois. L’objectif étant de pouvoir, dès que cela sera possible, poursuivre les projets d’extension et, si possible, rattraper le planning prévu.

La crise du coronavirus aura inévitablement un impact sur les délais de livraison des nouveaux matériels roulant. La STIB a veillé à garder le contact avec ses fournisseurs et à faire progresser le plus possible tous ses projets. Il est cependant prématuré d’établir un pronostic sur les éventuels retards de livraison.

La prochaine mise en service d’une nouvelle partie du Plan Directeur Bus est prévue pour fin août 2020, avec la nouvelle ligne 74.

Plusieurs aménagements doivent encore être réalisés dans les mois qui viennent à cette fin. Un seul chantier était en cours.

Ce chantier devrait redémarrer le plus vite possible. Il est encore trop tôt pour estimer l’impact sur la mise en œuvre des phases suivantes du plan bus.