Question écrite concernant ka dératisation.
- de
- Fouad Ahidar
- à
- Alain Maron, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de la Transition climatique, de l'Environnement, de l'Énergie et de la Démocratie participative (question n°876)
Date de réception: 07/07/2021 | Date de publication: 21/09/2021 | ||
Législature: 19/24 | Session: 20/21 | Date de réponse: 16/09/2021 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
09/08/2021 | Recevable | p.m. |
Question | L'année dernière, je vous ai posé une question sur votre gestion des rats en Région bruxelloise. J'ai reçu la réponse fin avril 2020. À l’époque, vous déclariez que des démarches étaient en cours afin de créer un service régional de dératisation (sous la forme d'une asbl). Un bureau d'avocats travaillait à la définition du cadre juridique de l'organisation de gestion (régionale) bruxelloise et à la mise en œuvre effective de la lutte régionale contre les espèces nuisibles. Les premières estimations financières du coût de lancement d’une telle association se chiffrent à 520.000 €. Il était question de 6 employés : un coordinateur, trois agents de terrain, un contremaître et un comptable externe. À propos de l'Atlas des mammifères, qui vise notamment à fournir des précisions sur la population de rats, vous disiez ceci : "Le nouveau projet d’atlas est en cours de finalisation. L’adjudicataire travaille en ce moment à l’intégration des remarques du comité de suivi du projet." Mes questions sont les suivantes :
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Réponse | 1) Le projet de construction de cette entité est en phase de finalisation. Une date précise de mise en œuvre effective ne peut cependant pas encore être donnée. 2) Le dernier atlas des mammifères est finalisé et désormais accessible sur le site web de Bruxelles Environnement. 3) L’atlas des mammifères ne vise pas à répondre à ces questions précises mais bien à déterminer la répartition des différentes espèces de mammifères sauvages sur le territoire régional. 4) Chaque commune bruxelloise a sa propre approche, ses propres ressources et son propre niveau d’ambition. Certaines communes font le travail elles-mêmes, d’autres l’externalisent. Au sein d’une commune, l’approche peut également changer chaque année. Il n’est pas possible pour Bruxelles Environnement de garder un suivi permanent de ces développements communaux. 5) La coordination aujourd’hui est minimale et sera améliorée par la mise sur pied d’une entité régionale responsable des espèces exotiques envahissantes et des organismes dits nuisibles. |