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Question écrite concernant le fonctionnement de l’École régionale d’administration publique (ERAP)

de
Bianca Debaets
à
Sven Gatz, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargé des Finances, du Budget, de la Fonction publique, de la Promotion du Multilinguisme et de l'Image de Bruxelles (question n°188)

 
Date de réception: 28/09/2020 Date de publication: 04/02/2022
Législature: 19/24 Session: 20/21 Date de réponse: 27/10/2020
 
Date Intitulé de l'acte de Référence page
13/10/2020 Recevable p.m.
 
Question    L’École régionale d’administration publique (ERAP) a été créée par les autorités communales et régionales de la Région de Bruxelles-Capitale. Elle offre aux fonctionnaires et au personnel des pouvoirs locaux et des services publics davantage d’opportunité d’épanouissement personnel et les aide à développer leurs compétences professionnelles.

Á ce titre, l’ERAP constitue un partenaire important des pouvoirs publics bruxellois grâce à toute une série de formations pratiques et théoriques dont l’offre est en permanence adaptée aux besoins et aux demandes des pouvoirs locaux et des services publics.

Je voudrais dès lors vous poser les questions suivantes :

- Comment évaluez-vous le fonctionnement de l’ERAP ? Quand cette évaluation a-t-elle eu lieu ? Sur quels critères repose cette évaluation ?
- Quel accord et quels objectifs concrets ont-ils été convenus depuis le début de la législature ? Quand cet accord a-t-il été conclu ?
- Combien de fonctionnaires ont-ils déjà suivi une ou plusieurs formations à l’ERAP depuis le début de la législature ? Pouvez-vous ventiler ces chiffres par formation et par sexe, catégorie d’âge, institution (SPRB, institutions régionales, pouvoirs locaux) et rôle linguistique du fonctionnaire en question ?
- Combien de formateurs externes sont-ils employés ou désignés à l’ERAP ? Quel est le ratio enseignants francophones / néerlandophones, d’une part, et enseignants / d’enseignantes, d’autre part ? Quelle évolution relevez-vous dans ces ratios ?
- Comment les fonctionnaires qui reçoivent une évaluation négative de leur directeur sont-ils suivis par l’ERAP ? De quel programme de formation bénéficient-ils ? Ces formations débouchent-elles effectivement sur une nouvelle évaluation (positive) pour les fonctionnaires en question ?
- Avec combien d’institutions, de départements ou de communes l’ERAP a-t-elle passé une convention en vue d’offrir une formation ou un parcours de changement ? Pouvez-vous en fournir une liste détaillée ?
- Quel impact la crise du coronavirus a-t-elle eu jusqu’à présent sur l’offre de formation, le nombre de participants et le fonctionnement général de l’ERAP ? Comment l’offre de formation a-t-elle été numérisée ? Comment sera-t-elle mise autrement « à l’épreuve du coronavirus » en vue de l’automne ? Note-t-on dès lors une diminution significative du nombre de participants aux cours de formation ?
- L’ERAP participe-t-elle à la création de l’école régionale des métiers de la sécurité Brusafe à Haren ? Dans l’affirmative, pouvez-vous en dire plus ?
- Les besoins éventuels de nouveaux locaux de l’ERAP sont-ils à l’étude ? Tous les services et formations de l’ERAP vont-ils déménager ? Quand ce déménagement est-il prévu ? Quelles mesures doivent-elles encore être prises et quel est le calendrier prévu à cet effet ? Quel budget prévoyez-vous à cette fin ?
 
 
Réponse    En réponse à votre question écrite, je souhaiterais me référer à la réponse qui sera donnée par le Ministre Bernard Clerfayt.