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Question écrite concernant le sommet mondial sur le handicap 2022

de
Geoffroy Coomans de Brachène
à
Nawal Ben Hamou, Secrétaire d'État à la Région de Bruxelles-Capitale en charge du Logement et de l'Égalité des Chances (question n°821)

 
Date de réception: 28/01/2022 Date de publication: 10/03/2022
Législature: 19/24 Session: 21/22 Date de réponse: 08/03/2022
 
Date Intitulé de l'acte de Référence page
02/02/2022 Recevable Bureau élargi du Parlement
 
Question   

Les gouvernements norvégien et ghanéen, l’Alliance internationale du handicap et l’alliance Atlas organiseront conjointement le deuxième sommet mondial sur le handicap les 16 et 17 février prochain1.

 

Ce sommet vise à accélérer la mise en œuvre de la convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées ainsi que la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies et l’exécution des engagements pris lors de la première rencontre. Ce sommet mondial sur le handicap 2022 offre dès lors une occasion unique de faire progresser les droits des personnes handicapées dans les pays partenaires et de concrétiser l’ambition de l’Union européenne de se poser en acteur mondial de premier plan et en défenseur des droits des personnes handicapées.

Je souhaiterais vous poser les questions suivantes :

  1. Le Gouvernement bruxellois peut-il préciser dans quelle mesure il participera à ce sommet ?

  2. Dans l’affirmative, pouvez-vous expliquer les engagements que le Gouvernement prendra lors de ce sommet, en accord avec les autres entités de notre pays ?

  3. En cas de participation, combien de personnes représenteraient les autorités bruxelloises, et quel seraient les montants affectés pour cette délégation ?

 

 

 

 

 
 
Réponse    J’ai l’honneur de vous adresser les éléments de réponse suivants:

equal.brussels n’a pas été invitée à participer à ce sommet ou à collaborer à l’élaboration de la position belge en vue d’une participation par un autre niveau de pouvoir.


Aucune demande ou invitation de cette nature n’a été formulée, ni par les correspondants européens ou internationaux, ni par le biais des contacts réguliers avec les administrations en charge de la politique de handicap aux différents niveaux de pouvoirs.