Question écrite concernant les bulles textiles enterrées pour lutter contre le vandalisme
- de
- Viviane Teitelbaum
- à
- Alain Maron, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de la Transition climatique, de l'Environnement, de l'Énergie et de la Démocratie participative (question n°1078)
| Date de réception: 21/02/2022 | Date de publication: 16/05/2022 | ||
| Législature: 19/24 | Session: 21/22 | Date de réponse: 04/05/2022 | |
| Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
| 23/03/2022 | Recevable | Bureau élargi du Parlement |
| Question | Tout comme les bulles à verres, les bulles textile souffrent des actes de vandalisme et de dépôts clandestins. C’est pourquoi des bulles sont progressivement enterrées afin de protéger les vêtements rendus impropres par les dépôts clandestins à l’intérieur et à l’extérieur des bulles. Les oérateurs de collecte textile ont d’ailleurs observé une augmentation de 40% de dépôts sauvages en 2020. Ainsi, en vue de lutter contre le vandalisme et afin de préserver les vêtements, des bulles textiles ont été enterrées avec la collaboration de Bruxelles Propreté ces 6 dernières années. Système dont le coût par bulle enterrée reviendrait à 10.000 euros. J’aimerais vous poser ces quelques questions :
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| Réponse | 1) L’Agence Bruxelles-Propreté n’est pas l’opérateur en charge de la collecte des textiles. L’ensemble des points d’apports de textile ne sont pas jumelés avec les sites de bulles à verre de l’Agence Bruxelles-Propreté. Cette question devrait être adressée à la Fédération Ressources qui représente l’ensemble des acteurs de l’économie sociale. 2) L’Agence Bruxelles-Propreté ne détient aucune statistique sur les dépôts clandestins aux abords des bulles à vêtements. 3) L’Agence Bruxelles-Propreté ne détient aucune information quant au dépôts sauvages aux abords des bulles à vêtements. |