Question écrite concernant l'utilisation de logiciels antivirus russes au sein des services publics régionaux et des pouvoirs locaux bruxellois
- de
- Bianca Debaets
- à
- Rudi Vervoort, Ministre-Président du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargé du Développement territorial et de la Rénovation urbaine, du Tourisme, de la Promotion de l'Image de Bruxelles et du Biculturel d'intérêt régional (question n°876)
Date de réception: 21/07/2022 | Date de publication: 20/09/2022 | ||
Législature: 19/24 | Session: 21/22 | Date de réponse: 19/09/2022 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
18/08/2022 | Recevable |
Question | Après que plusieurs fabricants chinois de logiciels et de matériel de sécurité ont fait lobjet de critiques au motif quils transmettraient potentiellement des informations sensibles aux autorités chinoises (cf. HikVision, Huawei, etc.), cest désormais le logiciel antivirus russe Kaspersky qui est également la cible de suspicions. Depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, les agences de cybersécurité française et allemande, entre autres, ont déjà décidé de mettre en garde contre les risques éventuels liés à Kaspersky. En Italie, on est encore allé plus loin et on a rompu tous les contrats publics avec cette société. Les Pays-Bas, interdisent quant à eux depuis 2018 aux services publics de travailler avec Kaspersky. C'est pourquoi je voudrais vous poser les questions suivantes :
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Réponse | J’ai l’honneur de vous adresser les éléments de réponse suivants : Safe.brussels n’utilise pas l’antivirus visé dans la question. En ce qui concerne les autres administrations régionales , il convient de s’adresser au CIRB qui est en charge des questions relatives à la cybersécurité régionale. |