Question écrite concernant l'exécution du permis délivré pour l’aménagement du boulevard de Waterloo
- de
- Marie Nagy
- à
- Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière (question n°1566)
Date de réception: 23/03/2023 | Date de publication: 23/05/2023 | ||
Législature: 19/24 | Session: 22/23 | Date de réponse: 09/05/2023 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
28/03/2023 | Recevable |
Question | Le réaménagement du boulevard de Waterloo est attendu avec impatience par les riverains et par les commerçants. Je partage leurs inquiétudes concernant le chômage locatif qui sétend, lincertitude pour les enseignes présentes dentamer ou non des travaux en attente de connaître la période du chantier. Vous nignorez pas Madame la Ministre, quun chantier est un moment difficile et que la moindre des choses que les pouvoirs publics peuvent assurer est de faire connaître avec précision le calendrier.
Le permis pour le réaménagement a été obtenu par Bruxelles Mobilité en juillet 2022. Madame la Ministre pouvez-vous me dire :
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Réponse | Ce permis est sous le coup d’un recours au Conseil d’Etat depuis fin 2022. La réponse la plus adéquate à apporter à ce recours est traité par Urban.brussels et son bureau d’avocat. Le dossier est quant à lui confié à Beliris pour exécution qui comme nous est en attente d’une clarification. Comme le dossier est chez Beliris, il n’y a plus de budget en 2023. Cependant, il y a un budget d’un montant de 1.6million, pour compléments, prévu en 2024. Les commerçants et les riverains ont été consultés lors de l’étude via un sondage, des réunions de concertation spécifique, et au travers de réunions techniques bilatérales. La coordination avec les commerçants se fait au travers de la plateforme hub.brussels. Si la pompe à essence n’a plus reçu de permis d’exploitation, l’exploitant a contesté ce refus au Collège d’urbanisme qui a donné raison à la Région. Ce point a ensuite été porté au gouvernement, lequel a aussi donné raison à la Région. Actuellement, le dossier est en train d’être jugé au Conseil d’Etat. Quel que soit le jugement, le démantèlement prévu de la station doit se faire en collaboration avec son exploitant. Il nécessitera une analyse de sol pour déterminer les mesures nécessaires à la dépollution. |