| Question
| Le renforcement de l’offre en transport en commun dans le sud de Bruxelles est un enjeu qui intéresse tout particulièrement ma formation politique. Afin d’objectiver les meilleures manières d’étendre l’offre existante de manière adaptée et cohérente, une étude est prévue dans le cadre du nouvel avenant Beliris, approuvé en mars 2023 par le Gouvernement bruxellois. Si celle-ci doit encore faire l’objet d’un accord du gouvernement fédéral, vous m’appreniez cependant récemment qu’un montant de 3,7 millions d’euros avait été budgétisé. En termes de scope, le cahier des charges précise que les différents types de transport de haute performance (y compris le train) seront étudiés au moyen d’une analyse multicritère qui comprendra également un volet environnemental et un volet socio-économique.
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Quels seront notamment les critères qui seront étudiés, en termes d’impact sur l’activité économique, sur le développement démographique, sur la durée de l’étude d’incidence ou des modalités de la participation citoyenne en matière de recommandations ?
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Qu’est-ce qui justifie ce coût de 3,7 millions d’euros et pouvez-vous ventiler ce montant entre les différents postes de dépenses estimés ?
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Est-ce que la proposition d’attribution de marché a bien fait l’objet d’un accord de l’inspection des finances ?
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Le retard engrangé à propos de cette étude que les communes du sud attendent depuis longtemps s’expliquerait selon vous par un manque de moyen chez Beliris, puisque les équipes sur place seraient très concentrées sur le chantier du métro 3. Est-ce que votre Gouvernement a plaidé, auprès du fédéral, pour qu’une partie des moyens de l’avenant aille vers un renforcement des équipes chez Beliris, sinon pourquoi ?
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Quel est le calendrier estimé pour la conclusion de cette étude ?
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Quelles sont demandes déjà formulées en amont de cette étude par les communes concernées au sujet d’une extension du réseau de métro ?
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