Question écrite concernant l’accompagnement des victimes d’accidents de la circulation
- de
- Anne-Charlotte d'Ursel
- à
- Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité, des Travaux publics et de la Sécurité routière (question n°1818)
Date de réception: 16/11/2023 | Date de publication: 29/01/2024 | ||
Législature: 19/24 | Session: 23/24 | Date de réponse: 29/01/2024 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
14/12/2023 | Recevable | p.m. |
Question | Laction 10 du Plan Régional de Sécurité Routière sintéresse aux premiers concernés par linsécurité sur nos routes : les victimes daccidents de la circulation et leurs proches. Celles-ci doivent absolument être accompagnées au mieux lorsquune collision se produit. Comme le précise le plan, cette prise en charge des victimes daccidents ayant entrainé des lésions corporelles doit non seulement être améliorée mais aussi être rendue plus homogène entre les zones de police et les communes. Si la formation aux premiers secours a bien été ajoutée au parcours dobtention du permis de conduite, il savère que plusieurs actions complémentaires étaient identifiées, notamment :
Pour mettre en uvre ces actions, certaines mesures préliminaires étaient conseillées :
Jaimerais faire le point avec vous sur ce qui a été réalisé en la matière. Voici dès lors mes questions :
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Réponse | Tant que des accidents graves se produisent, l’accueil et le soutien émotionnel des victimes et des proches sont essentiels. Ce n’est pas une nouvelle idée pour la police et il y a déjà des formations et des règles à suivre, mais toutes les zones de police n’ont pas la même expérience ou attention. Le PASR prévoyait pour chaque action les conditions de mise en œuvre. Les actions programme du Safe System, dont relève l’accompagnement des victimes, sont des nouvelles activités et des recrutements étaient identifiés comme nécessaires. Les postes ont été publiés en ce début d’année, les entretiens devraient se dérouler d’ici la mi-février. Dès que les personnes recrutées entreront effectivement en service, les actions pourront être démarrées. Une première démarche a été demandée par Bruxelles Mobilité à Safe Brussels, qui était d’établir un état des lieux des différentes actions, procédures et pratiques au sein des zones de police. Ces informations ont bien été reçues mais n’ont pas pu encore être exploitées. Pour terminer, j’aimerais souligner l’évidence qu’il faut on tout faire pour agir en amont et éviter de graves collisions dans la Région. Mieux vaut éviter les accidents qu’accompagner les victimes. |