Question écrite concernant l'état des contacts avec la KUL dans le cadre du futur de l'immeuble situé au croisement de la Rue du Marais et de la Rue des Sables.
- de
- Marie Nagy
- à
- Pascal Smet, Secrétaire d'État à la Région de Bruxelles-Capitale, chargé de l'Urbanisme et du Patrimoine, des Relations européennes et internationales, du Commerce extérieur et de la Lutte contre l'Incendie et l'Aide médicale urgente (question n°87)
Date de réception: 10/02/2020 | Date de publication: 03/03/2020 | ||
Législature: 19/24 | Session: 19/20 | Date de réponse: 03/03/2020 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
17/02/2020 | Recevable | p.m. |
Question | Nous arrivons à la fin de la procédure en matière de permis d'urbanisme pour l'immeuble de la KUL au croisement de la rue du Marais et de la rue des Sables. Les actions pour éviter la démolition semblent juridiquement impossibles, et une partie du bâtiment serait conservée, surtout du côté de la rue des Sables, sur le plan de la structure et de la façade. Il revient à présent à la KU Leuven de déterminer ce qu'elle compte faire. Bref, la balle n’est pas dans le camp de la Région bruxelloise. Avez-vous entamé un dialogue avec Odisee et la KUL afin de préserver un maximum de ce patrimoine comme le demandent les Bruxelloises et les Bruxellois ? Vous êtes prudent sur ce dossier, pour ne donner de faux espoir à personne, tout en étant assez mystérieux sur vos contacts et ce dialogue. Et ce mystère intrigue certainement l’ensemble des membres de la commission. Une solution de nature à satisfaire les uns et les autres serait-elle en vue ? Je souhaite savoir si des contacts ont été établis avec les autorités de la KUL et ce que, dans l’affirmative, vous pourriez nous en dire, notamment : - Quelles sont les intentions de la KUL au sujet de la partie du bâtiment susceptible de destruction ? - La KUL est-elle prête à revoir d’éventuelles destructions et à préserver un maximum le bâtiment actuel ? |
Réponse | Je vous renvoie au débat en commission Développement territorial, et je continue à m’informer, comme il se doit. |