Question écrite concernant la couverture en cas d’accident du travail important ou de décès pour les pompiers
- de
- David Leisterh
- à
- Pascal Smet, Secrétaire d'État à la Région de Bruxelles-Capitale, chargé de l'Urbanisme et du Patrimoine, des Relations européennes et internationales, du Commerce extérieur et de la Lutte contre l'Incendie et l'Aide médicale urgente (question n°813)
Date de réception: 15/02/2023 | Date de publication: 20/03/2023 | ||
Législature: 19/24 | Session: 22/23 | Date de réponse: 03/03/2023 |
Date | Intitulé de l'acte | de | Référence | page |
1/02/2023 | Recevable |
Question | En cas d’accident du travail, les pompiers disposent d’une couverture Inami. Celle-ci étant jugée trop faible, certaines zones wallonnes semblent offrir une couverture supplémentaire allant de deux à trois fois la valeur de la couverture Inami.
De plus, il apparait qu’en cas de décès d’un pompier dans l’exercice de ses fonctions, il n’y a pas de capital décès. Certaines zones se mobilisent pour fixer un capital décès allant jusqu’à 50 000 euros.
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Réponse | La couverture accident du travail prévue par la loi du 03.07.1967 et ses arrêtés royaux d’exécution se substitue à l’intervention de la couverture INAMI. Là où la couverture accident du travail intervient, l’INAMI n’intervient pas. En cas de décès, une indemnité funéraire est octroyée correspondant à un mois de la dernière rémunération brute d’activité de l’agent.e. Pour les pompier.ières décédé.es en intervention, les funérailles sont prises en charge par le service. |