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Question écrite concernant l'économie de l'énergie au sein de Bruxelles environnement

de
Bertin Mampaka Mankamba
à
Alain Maron, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale chargé de la Transition climatique, de l'Environnement, de l'Énergie et de la Démocratie participative (question n°1523)

 
Date de réception: 30/08/2023 Date de publication: 16/10/2023
Législature: 19/24 Session: 22/23 Date de réponse: 05/10/2023
 
Date Intitulé de l'acte de Référence page
14/09/2023 Recevable Bureau élargi du Parlement
 
Question    Un environnement sain et une économie saine sont essentiels, c’est pourquoi chaque année Bruxelles environnement établit un bilan énergétique de la Région Bruxelles Capitale. 

En tant qu'institution publique, Bruxelles Environnement se doit de montrer l’exemple en matière d’économie d’énergie.

  • Combien de litres de mazout, d’essence et de lubrifiants ont été utilisés au sein de Bruxelles environnement en 2021 et 2022 ?

  • Quel est le coût de la facture annuelle ?

  • Quelles sont les économies réalisées ces 2 dernières années? 

  • Pouvez-vous nous communiquer le plan de rationalisation prévu par Bruxelles environnement en matière de tous ces carburants ?

 
 
Réponse    1.
Pour le mazout :
En 2021 : 18.500 litres
En 2022 : 15.175 litres

Pour la flotte de véhicules :
En 2021 :
Essence : 20.618,43 litres
Diesel : 45.515,26 litres

En 2022 :
Essence : 17.999,99 litres
Diesel : 43.644,83 litres

Pour les machines horticoles et sylvicoles :
En 2021 :
Essence alkylate : 9.905 litres

En 2022 :
Essence alkylate : 9.745 litres

2.
Pour le mazout :

En 2021 : 11.620,37 €
En 2022 : 16.664,24 €

Pour la flotte de véhicules :
En 2021 : 95.817,13 €
En 2022 : 113.830,06 €

Pour les machines horticoles et sylvicoles :
En 2021 : 32.304,85 €
En 2022 : 34.780,41 €

3.
Pour le mazout : diminution de ~ 18 %
Pour l’essence : diminution de ~ 13 %
Pour le diesel : diminution de ~ 4 %
Pour l’essence alkylate : diminution de ~2%

4.
Pour ce qui est des véhicules, on constate une diminution progressive de la consommation en carburant, en partie expliquée par la baisse du nombre de véhicules thermiques, avec un remplacement progressif par de l’électrique. Le constat est similaire pour les machines horticoles à moteur thermique qui sont également de plus en plus remplacées par de l’électrique.