Pour les Services du Collège réuni (SCR), la nécessité d'une révision d'identité se fonde sur le besoin de clarté quant à l'existence et les rôles de l'administration :
A. Pour clarifier et identifier
L'adoption d'une identité nominale, symbolique doit aider les partenaires et les bénéficiaires à identifier l'administration de la COCOM et son rôle.
Le nouveau nom doit également permettre de différencier l'administration (SCR), de son entité politique COCOM. Aujourd'hui, la confusion est constante entre COCOM et administration de la COCOM.
Enfin, la nouvelle identité doit permettre, au bénéfice du "citoyen" (qu'il soit un individu ou une personne morale), de gommer une terminologie technocratique qui renvoie à la complexité institutionnelle et mettre en avant les compétences sociales et de santé. La révision d'identité des SCR soutient la communication vers les publics en clarifiant l'expéditeur du message et ce qu'il représente.
B. Pour réaffirmer la mission et les valeurs
Une identité claire et signifiante véhicule la mission de l'administration et ses valeurs. Les collaborateurs ont été associés à la démarche de clarification de la mission, des rôles de l'administration et de la manière de transmettre cette mission dans un nouveau nom.
Le nouveau nom est un élément supplémentaire dans les politiques de personnel en ce qu'il renforce l'adhésion, l'identification, voire de fierté à l'égard de l'employeur. En ce sens, il vient aussi soutenir l'attractivité de l'administration en tant qu'employeur public.
C. Pour marquer la sortie de crise sanitaire et la transformation de l'administration
Le moment pour opérer ce changement n'est pas choisi par hasard. Il marque une page tournée sur la crise sanitaire. Il permet de montrer un changement radical entre l'administration en construction d'avant COVID et une administration qui prend en main toutes les compétences post 6ème réforme, et qui s'engage dans la réforme du paysage socio-sanitaire. On pense à la transformation radicale des métiers de la médecine préventive et de la gestion des risques mais aussi à la réforme de la première ligne de soins.
|